Qui sommes-nous ?
Les délices de landeleauQui sommes-nous ?
Notre crêperie familiale Les Délices de Landeleau perpétue son savoir-faire de crêpes et galettes bretonnes depuis plus d’un demi-siècle. Aujourd’hui, une trentaine de personnes animent notre crêperie installée en centre Finistère à Landeleau. Au fil des années, notre équipe a transmis son savoir-faire ainsi que les secrets des recettes familiales aux nouvelles générations, pour des recettes toujours aussi savoureuses.
Depuis 1955
Notre histoire commence à la ferme. À l’époque, Ernestine Balpe préparait ses crêpes sur feu de bois avec des ingrédients frais (lait, beurre, œufs) issus des fermes locales. En 1955, elle décide de s’installer au bourg de Landeleau pour répondre à la demande croissante. Face à la fidélité de sa clientèle, la société Les Délices de Landeleau se lance en 1975.
Fidèle aux recettes d’antan depuis 3 générations
Nathalie, la petite fille d’Ernestine reprend la direction de l’entreprise en 2003. Afin de perpétuer les recettes familiales, notre crêperie continue de s’approvisionner auprès des fermes locales pour des ingrédients frais et des recettes toujours aussi savoureuses.
Nos machines à crêpes, une histoire de famille
Nous avons initié puis développé nous-mêmes notre mécanisation au fil du temps. En effet, face à l’engouement pour les délicieuses crêpes d’Ernestine, son fils Michel Balpe décide alors de mettre au point une machine à crêpes automatique. Elle lui permettra ainsi de répondre aux demandes grandissantes. Après plusieurs essais et face à la réussite de ces machines, une seconde société est constituée en 1984 pour la fabrication de machines à crêpes. Elle porte le nom de Société BALPE, une référence en France comme à l’étranger. C’est pourquoi aujourd’hui encore, notre entreprise est « la doyenne » des crêperies artisanales mécanisées.
Petite anecdote
À l’époque, le téléphone n’existait pas. Un drapeau blanc était alors planté sur les collines voisines pour faire savoir qu’un dépôt allait manquer de crêpes. Les petits commerces du coin étaient ensuite livrés à vélo.